Certains châteaux (qui se sont rarement autant intéressés à "l'aval", naguère jugé comme du seul ressort des négociants), rachètent même leurs vins à leurs importateurs américains. A prix discount, d'ailleurs.
Le courtier belge Roger Liégeois, qui connaît bien le marché, a noté une transaction particulièrement édifiante à cet égard: Graud Larose aurait ainsi racheté 2.700 caisses de son propre vin pour les faire rentrer des USA.